A la une: Soyez prudent(e) avec les actions!
Au mois de mai, les marchés boursiers se sont bien redressés. Est-il donc intéressant d'acheter des actions supplémentaires et de suivre la vague ascendante maintenant? Non, selon Evi et Van Lanschot. « Pour l’instant, nous ne changeons rien à notre position. »
Pourtant, le redressement des marchés boursiers a été très considérable. Fin mai, le large indice boursier américain S&P500 ne se situait encore ‘que’ 10% en dessous du pic de la mi-février. Vu la situation extrême avec une pandémie mondiale que nous n'avions plus vue depuis plus de 100 ans, il s’agissait d’un véritable exploit.
Toutefois, la politique d'argent bon marché des banques centrales et les mesures de soutien des gouvernements n'ont pas été étrangères à cela. En outre, les marchés espéraient une levée rapide des mesures de confinement.
Pourtant, tout ceci ne convainc pas entièrement Evi et Van Lanschot. Les cours ont augmenté très rapidement et très considérablement. Entretemps, l’impact global du coronavirus, qui n'est toujours pas sous contrôle, sur l'économie mondiale reste difficile à estimer. Actuellement, seule la Chine s’attend à une croissance positive pour l’année 2020. En outre, de nombreux secteurs ne fonctionnent encore toujours pas à plein régime. Il faut encore y ajouter les éventuelles conséquences des émeutes qui ont éclatées suite à l'arrestation violente et au décès de George Floyd (l'homme afro-américain).
Ceci n’empêche pas qu'Evi et Van Lanschot y voient également quelques aspects positifs tels que la confiance élevée des investisseurs, les taux bas en permanence et l'utilisation des fonds d'investissement européens.
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Consolider
Voilà pourquoi ils décident de consolider la situation actuelle en n'achetant pas et en ne vendant pas d’actions supplémentaires. Une répartition équilibrée entre les actions et les obligations sera donc maintenue dans le portefeuille.
En ce qui concerne les obligations, Evi et Van Lanschot voient des opportunités pour les obligations d'entreprises à plus haut risque. Leur cours sera soutenu à long terme, entre autres par le programme d’achat d'obligations d’entreprises de la Banque Centrale Européenne.
Les obligations dont le taux d'intérêt est plus élevé, peuvent également être envisagées. Les intérêts supplémentaires compensent le risque à la baisse. Toutefois, ceci s’effectue au détriment de la position dans les obligations d'Etat.
Vous trouverez plus d'expertise de la part d'Evi ici.
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