La banque Van Lanschot et sa marque bancaire Evi sont prêtes à augmenter leurs positions en actions si la stabilisation de l'économie est confirmée.
Contre toutes attentes, l’année 2019 a été excellente pour les actions. L'indice MSCI Europe, qui reflète l'évolution d'un panier contenant les principales actions européennes, a augmenté de 26,1% l'année dernière. Aux Etats-Unis, le marché boursier a même progressé de 33%. Les marchés émergents ont également obtenu de bons résultats. En moyenne, leurs marchés des actions ont augmenté de 20,6%.
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Les obligations
Les investisseurs en obligations ont également fait de bonnes affaires. La valeur d’un portefeuille d'obligations provenant des marchés émergents a augmenté de 15,6%. Evi et Van Lanschot avaient anticipé ceci en ajustant au mois d’avril leurs conseils pour cette catégorie de ‘réticent’ à ‘positif’.
Les obligations d’Etat ont obtenu le rendement de 6,7%; pour les obligations d’entreprises, il s’élevait à 6,3%.
L’année dernière, les obligations à rendement élevé ont rapporté 9,6% en moyenne. Pourtant, Evi et Van Lanschot sont prudents en ce qui concerne cette catégorie: "Nous estimons que nous ne sommes pas suffisamment compensés pour les risques de crédit et de liquidité plus élevés inhérents à ce type d'obligations."
2020
Quelles sont les perspectives pour 2020? En tout cas, il s’agira d’une année pleine de défis. Bien que le ciel politique se soit éclairci ces derniers mois, étant donné qu’un premier accord a été conclu dans le cadre des négociations commerciales entre les Etats-Unis et la Chine, et qu’un Brexit dur a été évité, les problèmes ne sont pas encore résolus. Pour l'instant, dans la saga du Brexit, il y a uniquement de la clarté au sujet d'une période de transition, mais il n’y a pas encore d'accord définitif. En outre, les accords entre les Etats-Unis et la Chine ne sont que très partiels. Ils doivent également être nuancés. Ainsi, les Etats-Unis n’ont réduit le taux moyen sur l’importation chinoise que de 17% à 15,5%, ce qui est encore toujours le double du taux qui était d’application au début de l’année 2019.
Entretemps, la croissance économique reste présente au niveau mondial, bien qu'elle soit légèrement inférieure à celle des années précédentes. Néanmoins, à gauche et à droite, on compte sur une accélération de la croissance en 2020.
Evi et Van Lanschot affirment qu'ils continueront de suivre la situation de très près. En cas d’une stabilisation, ils augmenteront leurs positions en actions, bien qu'ils s’orientent un peu moins vers les Etats-Unis et un peu plus vers l'Europe et les pays émergents.
Vous trouverez plus d'expertise de la part d'Evi ici.
Message commercial offert par F. van Lanschot Bankiers
Contre toutes attentes, l’année 2019 a été excellente pour les actions. L'indice MSCI Europe, qui reflète l'évolution d'un panier contenant les principales actions européennes, a augmenté de 26,1% l'année dernière. Aux Etats-Unis, le marché boursier a même progressé de 33%. Les marchés émergents ont également obtenu de bons résultats. En moyenne, leurs marchés des actions ont augmenté de 20,6%.
Les obligations
Les investisseurs en obligations ont également fait de bonnes affaires. La valeur d’un portefeuille d'obligations provenant des marchés émergents a augmenté de 15,6%. Evi et Van Lanschot avaient anticipé ceci en ajustant au mois d’avril leurs conseils pour cette catégorie de ‘réticent’ à ‘positif’.
Les obligations d’Etat ont obtenu le rendement de 6,7%; pour les obligations d’entreprises, il s’élevait à 6,3%.
L’année dernière, les obligations à rendement élevé ont rapporté 9,6% en moyenne. Pourtant, Evi et Van Lanschot sont prudents en ce qui concerne cette catégorie: "Nous estimons que nous ne sommes pas suffisamment compensés pour les risques de crédit et de liquidité plus élevés inhérents à ce type d'obligations."
2020
Quelles sont les perspectives pour 2020? En tout cas, il s’agira d’une année pleine de défis. Bien que le ciel politique se soit éclairci ces derniers mois, étant donné qu’un premier accord a été conclu dans le cadre des négociations commerciales entre les Etats-Unis et la Chine, et qu’un Brexit dur a été évité, les problèmes ne sont pas encore résolus. Pour l'instant, dans la saga du Brexit, il y a uniquement de la clarté au sujet d'une période de transition, mais il n’y a pas encore d'accord définitif. En outre, les accords entre les Etats-Unis et la Chine ne sont que très partiels. Ils doivent également être nuancés. Ainsi, les Etats-Unis n’ont réduit le taux moyen sur l’importation chinoise que de 17% à 15,5%, ce qui est encore toujours le double du taux qui était d’application au début de l’année 2019.
Entretemps, la croissance économique reste présente au niveau mondial, bien qu'elle soit légèrement inférieure à celle des années précédentes. Néanmoins, à gauche et à droite, on compte sur une accélération de la croissance en 2020.
Evi et Van Lanschot affirment qu'ils continueront de suivre la situation de très près. En cas d’une stabilisation, ils augmenteront leurs positions en actions, bien qu'ils s’orientent un peu moins vers les Etats-Unis et un peu plus vers l'Europe et les pays émergents.
Contre toutes attentes, l’année 2019 a été excellente pour les actions. L'indice MSCI Europe, qui reflète l'évolution d'un panier contenant les principales actions européennes, a augmenté de 26,1% l'année dernière. Aux Etats-Unis, le marché boursier a même progressé de 33%. Les marchés émergents ont également obtenu de bons résultats. En moyenne, leurs marchés des actions ont augmenté de 20,6%.
Les obligations
Les investisseurs en obligations ont également fait de bonnes affaires. La valeur d’un portefeuille d'obligations provenant des marchés émergents a augmenté de 15,6%. Evi et Van Lanschot avaient anticipé ceci en ajustant au mois d’avril leurs conseils pour cette catégorie de ‘réticent’ à ‘positif’.
Les obligations d’Etat ont obtenu le rendement de 6,7%; pour les obligations d’entreprises, il s’élevait à 6,3%.
L’année dernière, les obligations à rendement élevé ont rapporté 9,6% en moyenne. Pourtant, Evi et Van Lanschot sont prudents en ce qui concerne cette catégorie: "Nous estimons que nous ne sommes pas suffisamment compensés pour les risques de crédit et de liquidité plus élevés inhérents à ce type d'obligations."
2020
Quelles sont les perspectives pour 2020? En tout cas, il s’agira d’une année pleine de défis. Bien que le ciel politique se soit éclairci ces derniers mois, étant donné qu’un premier accord a été conclu dans le cadre des négociations commerciales entre les Etats-Unis et la Chine, et qu’un Brexit dur a été évité, les problèmes ne sont pas encore résolus. Pour l'instant, dans la saga du Brexit, il y a uniquement de la clarté au sujet d'une période de transition, mais il n’y a pas encore d'accord définitif. En outre, les accords entre les Etats-Unis et la Chine ne sont que très partiels. Ils doivent également être nuancés. Ainsi, les Etats-Unis n’ont réduit le taux moyen sur l’importation chinoise que de 17% à 15,5%, ce qui est encore toujours le double du taux qui était d’application au début de l’année 2019.
Entretemps, la croissance économique reste présente au niveau mondial, bien qu'elle soit légèrement inférieure à celle des années précédentes. Néanmoins, à gauche et à droite, on compte sur une accélération de la croissance en 2020.
Evi et Van Lanschot affirment qu'ils continueront de suivre la situation de très près. En cas d’une stabilisation, ils augmenteront leurs positions en actions, bien qu'ils s’orientent un peu moins vers les Etats-Unis et un peu plus vers l'Europe et les pays émergents.La banque Van Lanschot et sa marque bancaire Evi sont prêtes à augmenter leurs positions en actions si la stabilisation de l'économie est confirmée.
La banque Van Lanschot et sa marque bancaire Evi sont prêtes à augmenter leurs positions en actions si la stabilisation de l'économie est confirmée.
Cet article n'est pas un éditorial, mais un article publicitaire et a été réalisé grâce à la collaboration entre F. van Lanschot Bankiers N.V. et Guide-épargne.be
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