A la une: Evi a encore acheté des obligations d’Etat américaines
Durant les derniers mois, Evi et F. Van Lanschot ont encore légèrement réduit le poids des actions dans leur portefeuille. En effet, l’incertitude au sujet des relations commerciales internationales continue de peser sur les marchés. En outre, ils ne voient pas encore de nouvelles opportunités économiques. Par contre, pour leur portefeuille d’obligations, ils ont à nouveau acheté des obligations d’Etat américaines.
Cette année-ci, les marchés des actions avaient déjà obtenu de bons résultats. Au mois de septembre, ils ont continué sur leur élan du mois précédent. Suite à cela, aux Etats-Unis, la bourse de Wall Street a progressé de 25,9% au bout de 9 mois. En Europe, l'indice MSCI Europe a enregistré un gain de 19,2%. La bourse japonaise s’est contentée d’une progression de 16,5%.
Entretemps, Evi et F. Van Lanschot ont quelque peu réduit leurs participations suite à de nombreuses incertitudes, bien qu’elles ne soient que légèrement sous-pondérées. A cet effet, le soutien permanent des banques centrales et les évaluations non exagérées offrent des indications suffisantes.
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En ce qui concerne les obligations, les taux restent bas. En outre, suite à la croissance économique à la baisse et au taux d’inflation bas, il ne faut pas s’attendre à ce que la situation change rapidement. Il se peut même que les taux baissent davantage. En tout cas, la politique des banques centrales reste orientée vers une baisse progressive ultérieure afin de stimuler l’économie.
Surtout aux Etats-Unis, les taux pourraient encore baisser. En outre, le dollar est considéré comme une monnaie sûre. Voilà pourquoi Evi et F. Van Lanschot Bankiers ont encore acheté des obligations d’Etat américaines. En effet, si les taux baissent, les obligations précédemment émises à des taux d’intérêt plus élevés, auront plus de valeur.
En ce qui concerne les obligations d’Etat européennes, Evi et F. Van Lanschot restent très réticents cependant. Idem pour les obligations avec des taux élevés. Ils estiment que la rémunération supérieure compense insuffisamment le risque de non-paiement qui va de pair avec de telles obligations. Par contre, leur attitude envers les obligations d’entreprise est neutre. Au mois de novembre, la Banque Centrale Européenne lancera un nouveau programme de rachat.
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